À la suite des récentes avancées de la Maison dans le Reverse Aging – l’inversion des processus liés au vieillissement de la peau –, un nouveau palier, majeur, essentiel, a été franchi cette année. En effet, pour la première fois, la Science Dior a révélé le rôle clé de la « Protéine de Vie » (nommée Superoxyde Dismutase), pour démontrer son impact sur l’évolution de l’âge cutané. Il s’agit de l’étude génomique la plus approfondie jamais menée pour la jeunesse de la peau ; les chercheurs Dior, en collaboration avec des laboratoires et instituts français de renom, ont ainsi analysé près de 60 000 gènes du génome humain. Conclusion : la « Protéine de Vie » décline de 40 % au fil des ans.
D’où la révolution 2024 impulsée par la Science Dior : infuser en grande quantité et intensément cette « Protéine de Vie » au sein de la gamme L’Or de Vie, par le biais de la Golden Drop Life Technology qui réunit la quintessence des actifs d’Yquem. Jusqu’à deux fois plus concentré, ce complexe de soins permet de relancer le système de longévité cutanée ; une science de l’ultime précision cosmétique. La peau retrouve sa jeunesse ; elle est immédiatement plus éclatante, plus forte, resplendissante de vie.
Le raffinement du contenant reflète merveilleusement celui du contenu. Les écrins L’Or de Vie – écoconçus et rechargeables – ont été repensés comme des pièces d’orfèvrerie, inspirées de la haute horlogerie Dior. Ainsi, le coffret ouvert laisse apparaître le plissé d’un soleil éclatant, tel que celui qui, à Yquem, produit des merveilles.
Ultime surprise, un dialogue créatif exclusif entre Dior et Aristide Najean, le seul souffleur de verre français installé à Murano, donne naissance à une magnifique série limitée à cinq exemplaires – disponibles cet automne – sublimés d’une grappe et d’un élégant socle de verre imaginés spécialement par l’artiste. Une manière hautement symbolique et organique de rendre hommage(s) à la symbiose entre le terrien et le minéral, la science et le feu, l’or de la vie et l’art de la beauté Dior. |
|