Au gré de ses grottes, de ses forêts, de ses paysages fantasmés et autres architectures faites de carton, Eva Jospin éveille et émerveille. Elle réveille l’œil, attirant le regard sur une autre réalité, plus onirique, entre rêve et illusion, où elle invite à l’évasion. Son travail, toujours monumental, saisissant, offre une contemplation unique du monde faisant naître des émotions, chaque fois inédites. Un trait commun avec Miss Dior, une révolution olfactive sans cesse réinventée qui exalte les sens et les imaginaires.

Cette œuvre en soi se déploie à présent en version miniature sur le nœud du flacon Miss Dior, « un défi », selon les mots de la plasticienne. L’infiniment petit devient le lieu du merveilleux, de l’irrésistiblement précieux. Roses et vives, les fleurs se mêlent au vert tendre du feuillage contrasté par les teintes plus douces des branchages ; une chorégraphie de la nature qui semble prendre vie sur l’organza, tout en transparence. Des gestes extrêmement minutieux réalisés par les artisans de Chanakya pour faire éclore cet hommage unique à l’essence florale et printanière de Miss Dior.

Un jardin rêvé qui vient également orner une minimalle dont chacun des panneaux est lui aussi finement brodé, puis assemblé avec toute la virtuosité des ateliers Dior. Un coffret de prestige, conçu en 150 exemplaires, qui accueille le sillage Miss Dior Parfum, une composition de Francis Kurkdjian, où le jasmin exulte dans un délice de notes fruitées et gourmandes rehaussées de bois raffinés. Une pièce d’une beauté rare, absolue.